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Résumé balade versant sud aigoual 25.09.2015
- Le 01/11/2015
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Salut à vous tous
Avec le soleil pour invité à notre virée mécanique ce ne fût pas le seul à s’être déplacé en cette journée automnale.
Alors je souhaite au nom de tout le monde la bienvenue à Gérard ; Nicolas et Laurent si je ne me trompe pas.
Pour le premier sa belle n’est autre qu’une Firewind 650 SUZUKI ; Nicolas suit lui avec une orange mécanique (oui c’est déjà fait !!!) donc un Z 1000 et pour finir une de mes ex en la présence d’une 600 Fazer avec un vrai amorto LOL; une XJR blanche de notre ami dont j'ai oublie le nom (mille excuses) ; pour compléter le cortège un coucou à Jean Yves et Micheline sur leur varadero ; Patrick et Nath sur l’increvable 850 BMW ; notre biker un autre Patrick et sa belle de Milwaukee ; Sylvain et son Vstron suivi par notre ballerine et sa danseuse vous avez reconnu Alain et sa Fireblade 900 puis la moto balaie celle qui ne démarre pas toujours mais ne s’arrête plus la K 1300 GT.
Bon tout le monde est prêt pour en découdre avec le bitume qui nous promet par l’entremise de notre guide de jolie petite route.
Il me vient pour autant une question ; Pourquoi descendre aussi vite d’une moto aussi prés d’une bouche d’égout ?
Peut être une pulsion effrénée d’un big bisous à la vue de ce si beau sourire délimité par cette fameuse bouche mais quel dégout. Bref on peut aussi dire que chacun mont e et descend comme bon lui semble (on peut en rire puisque notre ami ne s’est pas fait mal ni la bouche d’ailleurs) PS j’ai la photo pour souvenir ou preuve.
Une fois le principe du tiroir assimilé notre balade file bon train jusqu’à notre première pause café dans un petit village dont j’ai oublié le nom mais où tout le monde profite d’une boisson chaude (merci micheline) et de viennoiserie offert par patoche bon pied bon … !.La suite de notre périple nous pousse sous un soleil printanier (va comprendre Charles) à notre halte repas quelques bornes plus tard.
Là encore convivialité et bonne humeur était servi en apéro avec saucisson petit godé de jinjin juste-un (de quoi il parle du sausse ou du vin) proposé par la danseuse et d’autres encore.
Le repas fini et les lieux ayant retrouvé sa tranquillité (il parait que certain nous ont entendu) le retour nous tends des départementales sinueuses et délicieusement belle paraient des mille couleurs mordorés quant soudain le vent de feux (traduction littérale de firewind) souffle sur Gérard et sa moto qui ratatouille avec moins de gout que le plat du même nom. Bref après une petite intervention et le problème identifié la fin de notre aventure fait un dernier point ravitaillement à la terrasse d’un café à Lassalle adresse retenue pour notre repas de fin d’année mais je vous en parle un peu plus tard.
Voilà j’espère que ce moment de partage et de découverte de nos belles régions vous auras fait plaisir ainsi que nos rencontre ; au plaisir de vous revoir sur nos prochains évènements ou ailleurs.
CDLT Fred
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Présentation balade versant sud mont aigoual
- Le 30/09/2015
- Dans Balade versant sud mont aigoual
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Situé sur les communes de Valleraugue (Gard) et Bassurels (Lozère), la partie sommitale de l'Aigoual forme un plateau d'altitude supérieure à 1 500 mètres sur environ 3 km2. Il est ponctué par trois sommets3 à savoir, d'est en ouest :
- le pic de la Fageolle ou pic Ferrège (1 555 mètres) dominant le versant sud-est ;
- le signal de l'Hort de Dieu ou Tourette de Cassini (1 565 mètres), situé dans le Gard, point culminant qui porte l'observatoire météorologique dont la table d'orientation, située au sommet de la tour crénelée, culmine à 1 571 m. Environ 300 mètres à l'ouest, à la cote 1 560 m, se dressent les deux pylones de télécommunications d'une hauteur d'environ 40 mètres ;
- le signal de l'Aigoual (1 564 mètres), situé en Lozère.
À plus grande échelle, le massif de l'Aigoual comprend au sud-ouest les sommets du Lingas (1 445 mètres) qui s'achèvent par le dôme rocheux du St Guiral (1 366 mètres), le plateau de l'Espérou directement en face au sud (1 415 m), et s'étend vers l'ouest jusqu’aux plateaux calcaires des Grands Causses en passant par le col de Prat Peyrot (1 380 mètres) qui abrite une station de ski, et unique point de passage vers la route du col du Perjuret.
La ligne de partage des eaux entre l'océan Atlantique et la mer Méditerranée traverse le plateau sommital, se prolongeant au nord et au sud de celui-ci. Les versants méditerranéens et atlantiques ont des morphologies très différentes. Vers l’ouest et le nord-ouest, les crêtes arrondies, aux pentes plus douces sont séparées des Causses par les gorges et canyons du Tarnon, de la Jonte, duTrèvezel et de la Dourbie, affluents du Tarn. À l'est et au sud-est, au-dessus des sources de l’Hérault et de ses affluents, les pentes sont raides et très escarpées. Le dénivelé direct, un des plus importants du Massif Central, atteint 1 250 m entre le village deValleraugue (cote 300-350 m) au fond de la vallée et au pied du sommet. La route est obligée, d’ailleurs, d’emprunter les longs lacets de la face nord du plateau de l’Espérou qui mènent au petit village de l'Espérou (1 250 m), d’où l’on peut aussi venir par Le Vigan en passant par le col du Minier à 1 260 m, puis rejoint le col de la Sereyrède (1 300 m, ligne de partage des eaux), passe par le col de Prat-Peyrot (1 380 m) afin de gagner le sommet au bout de 28 km d'une longue ascension.
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Résumé balade lac de SALAGOU 06.09.15
- Le 13/09/2015
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Salut à vous tous
Je profite du petit moment journalistique qui s’offre à moi pour rendre compte de notre balade de dimanche 06 septembre 2015 là où l’eau du lac aurait un goût de pas propre ; le lac de SALAGOU…..
Il me faut d’abord ajouter à nos amis de balade la venue de Stéphane avec sa SV 650 ; puis Arnaud avec sa 900 CBR R ; bienvenue à vous deux.
Le sempiternel refrain sur la beauté des routes empruntées ainsi que la mise à jour toujours aussi aléatoire de notre GPS national mis de coté, il me reste quand mêmes quelques anecdotes sulfureuses mais non dangereuses un peu comme un certain cocktail (secoué mais non agité) car oui,
cette fois plusieurs d’entre nous fut l’auteur de figure et glissade plus ou moins maitrisé (sans maitrise la puissance n’est rien).
Comme quoi mêmes si nos charmantes départementales tortueuses à souhait nous accueilles les virages ouverts certains se refermes sur de réels pièges à motard comme des pierres sur la traj ou encore des bandes de graviers que certains peut-être par chance non pas vu, mais vécus arabesque en 900 CBR pour preuve mêmes si cette dernière ne se sent pas super bien dans le rôle de la ballerine( je parle de la Honda) pour ceux qui ne suivent pas ce qui n’était pas mon cas étant aux premières loge pour cette figure avec dépose du slidder gauche du talon de la botte LOL.
Pour autant comme tout se termine avec juste le cabas à histoire bien plein je pense que cette virée fut là encore à la hauteur de nos envies avec des moments d’émotions et d’amitié partagé par tous.
Un grand merci à vous Jean-Yves Micheline, Eric Nathalie, Arnaud, Stéphane et Sylvain a qui je présente tous mes vœux et félicitations pour la naissance (3 mois) de la relève moto qui sait
Encore un grand bravo à vous pour tous ces moments et restez bien à l’écoute pour notre prochain road treap
AMITIE Fred @+
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Présentation lac de salagou
- Le 08/08/2015
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Situé à une cinquantaine de kilomètres de Montpellier, près de Clermont l'Hérault, le lac du Salagou a été créé en 1969, par le Conseil Général. En effet la crise viticole amène les pouvoirs publics à envisager une reconversion du vignoble en verger, ce qui nécessite la création d'un réservoir d'eau pour l'irrigation.
Le ruisseau du Salagou, dont les crues sont souvent spectaculaires est choisi pour édifier l'ouvrage. Un barrage en enrochements de basalte, matériau courant dans la région, recouvert de béton bitumeux est construit. La mise en eau est effectuée en 1969.
La hauteur maximale au-dessus de la fondation est de 62 m, la longueur du couronnement de 357m, la largeur de 7,42 m. Il faudra 3 ans pour que le lac du Salagou atteigne son niveau actuel de 139 m. A la construction, le niveau prévu était de 150 m, mais en 1996, le Conseil Général de l'Hérault fixe la cote maximale du lac à 139 m.
Sa longueur avoisine les 7 km pour une masse de 125 millions de m3 d'eau et une superficie de 750 hectares. La faune et la flore qui se développent sur ses terres rouge est très particulière. Le lac est interdit à tous les bateaux à moteur, la voile est autorisée et la Tramontane fait du lac du Salagou un spot très prisé par les funboarders.
Etant donné les conditions d'ensoleillement, en été, la température de l'eau atteint les 28 °C. La pêche de poissons de belle taille, carnassiers, carpes, attire également bon nombre de passionnés sur ses rives.
Les randonneurs, pédestres, ou VTT, seront ravis de parcourir les 28 km du chemin qui suit les rives de ce merveilleux lac, avre de paix et de tranquilité. -
Balade vers les vans 28.06.2015
- Le 09/07/2015
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Salut à vous tous ;
Tout d’abords à ceux qui ce sont dit que cette fois le compte rendu de la balade était mort et qu’ils auraient dus faire les con et bien non !!!!!!
Ma première impressions que je vous livre et celle ci ; après avoir visionné les photos je me rends compte à quelle point je trouve cette balade super de par ses lieux et aussi de par l’ambiance saine et chaleureuse de notre groupe qui il est vrai ressemble de plus en plus à un vieux couple ; et alors comme dit le dicton : c’est dans les vielle marmite que l’on fait les meilleures soupes à condition de rajouter les légumes nouveaux.
Justement du sang neuf il nous en est venue avec Baptiste et Cynthia sur leur mignonne 500 gse de chez suze kiki.
Quel baptême pour un jeune permis mais comme le dit là encore l’adage : tous les hommes naissent égaux seuls les meilleurs deviennent motards !!!! Donc bravo et encore bienvenu.
Pour le reste merci encore à Jean Yves et Micheline et un GPS de moins en moins actif mais de plus en plus réactif en termes de blagounettes en tout genre ; ha sacrée Micheline ;
Merci aussi à nos fidèles amis en la personne du chti Eric et Nath et de Patrickkkk et Nath.
Bien sur il est évident que sous un soleil aussi présent certaine teutonne en ont un peu perdu leur mordant sans jamais ronger leur frein (moi j’aime bien ce que je viens d’écrire) bref rien de grave.
Tout cela pour conclure que cette balade restera dans les anales à plus d’un titre au regard de certaines régions de vos anatomies respectives qui ont un peu souffert mais pour une bonne cause puis manger à notre dame des neiges et voir les vaches cela n’a pas de prix.
Je finis juste par un grand merci à vous tous et pense vous revoir à notre prochain rendez vous qui je pense sera début septembre afin que tous puisses profiter de vacances mérités ; mais je vous informerez par le biais du site.
CDLT Fred @+
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Historique de les vans
- Le 09/05/2015
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Les chanoines de Saint-Ruf, dont l'ordre est établi depuis 1039 à Avignon, fondent une première église romane.
En 1208 une bulle d'Innocent III ratifie la donation des Vans à l'abbaye de Saint-Gilles-du-Gard. Du xive siècle auxviiie siècle inclus, un barri entourait le bourg ; ce « mur de ville » était haut de quelques mètres et large de soixante à quatre-vingts centimètres. Il était doublé d'un fossé ou ruisseau qui longeait occasionnellement les maisons. Il comportait quatorze tours et quatre portes ; une cinquième, très étroite, fut percée au xviiie siècle.
Vers le milieu du xve siècle Charles VII institue deux foires aux Vans : l'une du 21 au 28 aout, l'autre les 8 et 9 novembre - cette dernière bientôt remplacée par la foire de la Saint-Thomas le 21 décembre4.
En 1478 le bourg appartient aux coseigneurs Rochebaron, en 1643 aux de La Fare, en 1672 au comte du Roure et de La Garde-Chambonas et en 1762 au duc d’Uzès. La ville passe à la Réforme au xvie siècle ; en 1629, elle retourne au catholicisme.
En 1790, la région est rattachée au département de l'Ardèche (Annuaire du département de l'Ardèche pour l'année 1866).
La place de la Grave fut le théâtre d'exécutions après la révolte des Masques et du massacre de Saillans et de ses compagnons en juillet 1792.
En 1799 (à l’arrivée de Bonaparte) le barri est démantelé, n'ayant plus de raison d'être ; seuls quelques vestiges demeurent.
La révolution de 1848 est bien accueillie en Ardèche, et notamment par le maire de Vans, qui collabore activement avec les commissaires du gouvernement en leur indiquant quels sont les bons républicains susceptibles d’occuper les fonctions de maire dans les communes voisines, et quels sont les maires opposés au régime et qu’il juge préférable de révoquer.
En 1851 Les Vans est l'une des onze communes dans le Vivarais cévenol où la densité de population dépasse 150 habitants/km2 - plus que dans le Vivarais de la vallée du Rhône. À l'époque les Hautes Cévennes sont plus peuplées que les plaines des Basses Cévennes, peut-être grâce à la présence du châtaignier dans les hauteurs où il se plaît mieux. Dans les plaines plus basses, c'est le développement du mûrier dès le début du XVIIIe siècle qui a accompagné la croissance démographique commencée au XVIIe siècle. Ainsi en 1860 Les Vans abrite quatre filatures de soie sur les 13 existant dans les Cévennes. Ces filatures emploient surtout des femmes ; les hommes, eux, pratiquent l'émigration saisonnière, surtout pendant la période creuse des travaux agricoles. Les revenus sont précaires : vers 1850 50% des familles du canton des Vans sont endettées.
À la mort du professeur Ollier (1900) qui habitait près de l’église des Vans, une souscription mondiale permit d'élever deux statues monumentales en bronze, réalisées par Alfred Boucher, l'une aux Vans sur la place Léopold-Ollier, l'autre sur la place Ollier à Lyon. Pendant la seconde guerre mondiale, la ruse des Vanséens préserva la statue des Vans de la convoitise des Allemands, tandis que la statue de Lyon fut fondue pour les besoins de la Wehrmacht en 1941.
Les Vans reçut le président de la République (Nicolas Sarkozy) le 20 décembre 2011 ; la précédente visite présidentielle officielle en Ardèche datait de 1961(Charles de Gaulle).
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Résumé balade lac de sainte croix 03 mai 2015
- Le 05/05/2015
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Un jour ; une ballade
Salut à vous tous et bienvenue à de nouveaux membres, à savoir René, Marc, Sylvain.
Tout d’abord et à fin d’être précis il me faut aussi faire un salut à Jean Yves et son GPS de plu en plus de moins en moins à jour, que faut il faire, encore heureux que sa varadero elle se contente d’une révision et Aups (petit village sur notre route).Pour suivre Nathalie et Eric eux aussi sur leur varadero teinté de senteur d’essence à chaque rotation de la poignée droite et oui celle là est à carbu comme à la bonne époque. Très prés suivent encore Nath et Patriiiick avec l’Angela merkel de la moto qui plus elle aligne les kilomètres plus elle semble en forme ; sacrée voiture cette BMW (quoi il font des motos ça va j’en ai une alors !! ) .Rapidement comme pour confirmer que l’Allemagne fait aussi des deux roues une seconde teutonne pointe le bout de son shiffter que notre Nath (encore une) utilise avec délice et aussi malice ; j’ai mes sources. De plus en plus multi Marc avec son HD nouvelle version. Au fait je sais maintenant ce que veut dire HD Haute définition pour le son superbe que crachent les nouveaux tuyaux d’amplification du bouilleur de Milwaukee. Pour suivre René le premier de nos nouvel amis qui un peu comme la couleur (un peu marron taupe) de sa superbe FJR AS , nous suit avec la sérénité efficace de notre de autre amis « la taupe »qui sort de son hivernage et tout de suite vous voyez ou je veux en venir : A partir de tout de suite ton petit non sera René la taupe si tu es d’accord. Une autre japonaise est de la partie mais là le problème c’est que pendant la ballade notre amis Marc (un autre) deuxième nouveau venu à péter un plomb ou plutôt la jante avant de sa hornet, ce qui à pour effet l’apparition d’un guidonnageréel.Par conséquent marc à appris la conduite façon papy qui souffre de parkinson cela lui a filé le bourdon surtout sur la fin ; donc le lien me semble tout trouvé ton petit non sera Papy bourdon. Quant à notre dernier compère ; Sylvain c’est qu’il était là avec sa cathédrale valistique sur sa V STROM surtout vue de derrière sur les prise d’angle dans les virages vers Varage.Bref tous semble parfait ; superbe route, temps avec légère menace de pluie mais sans pluie qui donne envie de faire tourner nos totalisateur kilométrique entre potes sauf qu’après quelques heures de départementales presque arrivé au lac de sainte croix STUPEUR !!!Et oui devant nous un panneau indique la direction de COMPS. Dit nous Jean Yves tu ne nous l’a fait pas à l’envers ; le lac de sainte croix ne serait pas le barrage de Vallabrégues ; puis juste après sans bannière ni croix le dit lac nous dévoile sa vue et le moment pour nous de faire la pause MIAM MIAM et les photos. Quelques tranches de cake au vin blanc (chuuut) , d’olives exct et de saucisson plus tard, l’appel de la route nous reprend et nous voilà reparti direction Moustier pour remplir le « ventre » de nos belles (les motos car les cavalières c’est déjà fait) et go to the ride vers notre dernier arrêt avant des au revoir du coté de la cabane à bambou (trop fort se Jean Yves) puis rendez vous pris pour notre prochaine histoire vers Aubenas ; ballade prévu pour le 14 juin .Il ne me reste plus qu’à vous remercier pour cette journée fort sympa et à refaire
Bonsoir à tous et@+
FRED
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Présentation balade lac de sainte croix
- Le 13/04/2015
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UN PEU D’HISTOIRE
Le projet visant à noyer la vallée des Salles par la création d’un lac sur le cours du Verdon remonte à Georges Clemenceau, en 1908. Ce n’est qu’en 1968 qu’est décidée sa mise en oeuvre par Electricité De France. Initialement, le lac devait engloutir les villages des Salles sur Verdon, de Bauduen et rendre Sainte-Croix du Verdon inhabitable. Le lac artificiel est finalement créé en 1973, suite à la construction du barrage de Sainte-Croix. Les villages de
Sainte-Croix et Bauduen sont finalement sauvés, et Les Salles reconstruit à l’abri des eaux.AUJOURD’HUI
Le troisième plus grand lac de France s’étend sur une superficie de 2200 hectares (10 kilomètres de long et 2 de large). Le barrage, construit à l’entrée des gorges, près de Baudinard, retient 760 millions de mètres cubes d’eau et produit plus de 150 millions de kWh par an. Il alimente ainsi en électricité les villes situées à proximité. Il constitue également un pôle touristique majeur, et offre un espace privilégié pour la baignade, le bateau (électrique uniquement), le pédalo ou le canoë-kayak.